Lettre d’info du 19 septembre 2018

[et_pb_section bb_built= »1″][et_pb_row][et_pb_column type= »1_3″][et_pb_image _builder_version= »3.0.100″ src= »https://www.cirqueduvaldoise.fr/wp-content/uploads/2018/09/v7en_1421213310876047446213347824328765978494586n-1.jpg » show_in_lightbox= »off » url_new_window= »off » use_overlay= »off » always_center_on_mobile= »on » force_fullwidth= »off » show_bottom_space= »on » /][et_pb_image _builder_version= »3.0.100″ src= »https://www.cirqueduvaldoise.fr/wp-content/uploads/2018/09/v7en_CHEBAN4-1.jpg » show_in_lightbox= »off » url_new_window= »off » use_overlay= »off » always_center_on_mobile= »on » force_fullwidth= »off » show_bottom_space= »on » /][/et_pb_column][et_pb_column type= »2_3″][et_pb_text _builder_version= »3.0.100″ background_layout= »light »]

Duo Stauberti (perche)

Le public du dernier Festival de Monte-Carlo a retenu son souffle lorsque, à la fin de son numéro, Dmitr Staubert, chevauchant un monocycle, portait sur son front une longue perche au sommet de laquelle sa nièce Nancy se tenait en équilibre sur les mains. Pour compliquer les choses, il se mit à jongler, toujours en équilibre, avec cinq massues. Cet authentique exploit leur permit d’obtenir un Clown d’argent. Comme beaucoup de disciplines acrobatiques, la perche trouve ses racines dans l’histoire acrobatique chinoise. Mais, dans le cirque contemporain, l’école de perche tchèque est une des plus abouties comme vous allez le constater.

[/et_pb_text][et_pb_text _builder_version= »3.0.100″ background_layout= »light »]

Troupe Cheban (balançoire russe)

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le nom de la balançoire de la troupe Cheban n’a rien à voir avec le pays des tsars. C’est un forain français nommé J.B Russes qui donna le nom à cette attraction qu’il fut le premier à construire en Allemagne vers 1850. En référence à son nom, les Allemands lui donnèrent le nom de « russische schaukel » : balançoire russe. Néanmoins, c’est un acrobate russe, Benedikt Beljakov qui, en 1947, eut l’idée d’utiliser une des parties du manège à la manière d’une balançoire où les cordes étaient remplacées par des tiges d’acier pour s’élancer dans d’impressionnantes trajectoires. La troupe Cheban illustre cette spécialité avec une audace qui engendre le frisson lorsque les voltigeurs s’envolent presque à toucher la coupole du chapiteau. Frisonner de plaisir, c’est aussi un des charmes du cirque !

Christian HAMEL Président du Club du Cirque

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]